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    La navigatrice MAUD FONTENOY dit « NON » !

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    A en juger par son comportement, le pouvoir iranien est en proie à la panique. Et il a tout lieu de l'être : il y a un peu plus d'un mois, Israël a mené, avec succès, un raid en Syrie contre ce que l'on pense être des installations nucléaires, prouvant ainsi que les défenses antiaériennes de construction russe, dont l'Iran s'est lui aussi doté, sont vulnérables. Derrière le premier ministre israélien Ehoud Olmert, il faut voir George Bush. Les deux chefs d'Etat ont fait part à maintes reprises de leur détermination à empêcher l'Iran d'acquérir l'arme nucléaire, si nécessaire par la force. Et, dans ce cas, l'Iran n'aura pas grand-chose à leur opposer. L'International Institute of Strategic Studies de Londres a évalué son budget de défense à environ 6,3 milliards de dollars (4,3 milliards d'euros). Soit un peu plus de la moitié de celui d'Israël et moins de 2 % de celui des Etats-Unis. A ce budget s'ajoutent probablement des programmes secrets, mais l'Iran est à cet égard loin d'être une exception.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-973478,0.html


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    Introduite, comme le test ADN, par l'intermédiaire d'un amendement, le droit à la collecte de statistiques dites ethniques est une initiative peut-être, elle aussi, lourde de conséquences pour l'avenir : elle donne des outils à ceux qui souhaitent développer des analyses racialisées de la société. L'existence d'un référentiel ethno-racial de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> devient une perspective possible, voire probable à brève échéance.

    En mai, l'Institut national démographique a ainsi proposé, devant le Conseil national de l'information statistique, l'introduction de la couleur de la peau dans l'enquête "Trajectoire et origines". Prévue pour 2008, cette importante enquête sera réalisée auprès d'environ 20 000 personnes représentatives de la population française. Son principal objectif est d'étudier les trajectoires des immigrés et des enfants d'immigrés, leur degré d'insertion et les discriminations qu'ils subissent. Elle répond, entre autres, aux attentes de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Halde">la Halde</st1:PersonName>, <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Haute">la Haute</st1:PersonName> autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-973073,0.html


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    LETTRES A <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA GENERATION DE">LA GENERATION DE</st1:PersonName> <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE">LA LIBERTE</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="LA LIBERTE"></st1:PersonName>IV - L'histoire narrative et l'histoire comprise : Guy Môquet et le problème de la vérité historique

     

    « ... La résistance n'est pas un statut reconnu par l'histoire vivante et vécue, mais un titre mérité à titre posthume et seulement en cas de défaite de l'adversaire par la force des armes . Votre première tâche d'apprentis-historiens sera donc de bien distinguer les vocables dont le statut est assuré et constant, d'une part, des termes flottants dont la science historique fait usage, au gré des circonstances, d'autre part . L'historien sérieux s'érige donc d'emblée en tribunal du vocabulaire de sa discipline. Car les résistants de l'époque étaient officiellement définis comme des terroristes, à l'instar des résistants palestiniens actuels de Cisjordanie et de Gaza, qui ne seront appelés des résistants que par les historiens futurs et seulement le jour où, par un verdict du destin, ils auront reconquis leur territoire. (...)

    Soixante-dix ans après la victoire américaine, la bourgeoisie européenne et la gauche gardent le silence sur les camps de concentration de Guantanamo et sur les tortures des prisonniers dans les geôles de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la CIA">la CIA</st1:PersonName> . Pourquoi l'Europe entière de Vichy se range-t-elle du côté de l'occupant d'une Europe des vassaux? (...)

    Quel est l'avenir mondial de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la R←sistance">la Résistance</st1:PersonName> ?

     

    Suite : http://perso.orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/europolitique/generation4.htm


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  • «"Les parlementaires ont la capacité politique de faire barrage à Nicolas Sarkozy." Marie-Noëlle Lienemann ne veut pas entendre parler de la ratification parlementaire du Traité de Lisbonne -ou traité simplifié- prévue par Nicolas Sarkozy. Selon la députée européenne PS, il faut organiser un référendum et "on peut contraindre Sarkozy" à le faire.

    Marie-Noëlle Lienemann, l'ancien ministre socialiste Paul Quilès et leur club de réflexion Gauche Avenir -qui réunit des politiques de gauche, des chercheurs et des journalistes- ont analysé pour ce faire le processus de ratification parlementaire:

    "Pour que le Traité de Lisbonne s'applique, il faut passer par deux étapes successives. Première étape: la modification de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> française [les articles 88-1 à 88-7 doivent être adaptés, ndlr]. Deuxième étape: la ratification du texte du nouveau traité européen."

    Pour que chacune des deux étapes soit validée, il faut rassembler 3/5e des suffrages au Congrès (où siègent tous les députés et les sénateurs). Aussi, pour que le texte ne passe pas sans toutefois être rejeté définitivement par <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>, Gauche Avenir appelle au vote négatif lors de la première étape. Nicolas Sarkozy serait alors contraint, pour faire adopter le texte, de passer par la voie référendaire.

     

    http://www.rue89.com/2007/10/31/europe-on-peut-contraindre-sarkozy-au-referendum 

     

    [Merci à Nicole]


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  • Le traité de Lisbonne est sur le fond totalement identique à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName> européenne de mai 2005, celle-là même que les Français ont refusée par leur vote. Histoire d'un mépris pour les décisions populaires.

    Nicolas Sarkozy nous avait promis : « Je tiens compte du vote des Français ; il n'y aura qu'un mini traité technique ».

    On sait ce que valent ses promesses. Mais là, il s'est surpassé. Le traité n'est pas mini du tout ; il est, à quelques éléments symboliques près, le jumeau du précédent ; certes, ce n'est plus une Constitution et c'est bien même s'il faut rappeler que la question était restée en suspens en 2005 ; certes, certains chapitres ont disparu, mais ils sont évoqués dans les annexes, ce qui leur donne la même force juridique que le corps du texte. Le nouveau traité conserve donc la teneur du texte antérieur tout en le rendant encore plus illisible.

     

    http://www.marianne2.fr/Traite-modifie,-democratie-bafouee_a80590.html?PHPSESSID=f0f46ba382a5ef50a4d2f6559bcc4bc3 

     

    [Merci à Nicole]


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