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    Le réveil d'Obama dans les sondages illustre une des figures chéries de l'imaginaire américain, le come-back kid

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    OBAMA : la seule véritable rupture ?


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  • Craignant les représailles de Téhéran contre ses installations pétrolières, l'Arabie saoudite s'est rapprochée de Moscou, qui a l'oreille des Iraniens dans la crise du nucléaire.

     

    Après avoir misé sur le dialogue, les responsables saoudiens semblent s'être résignés à une attaque américaine contre l'Iran. «Nous nous approchons de plus en plus près d'une confrontation», affirme au Figaro Abdel Mohsen Hakas, le ministre des Affaires sociales. «Le ton de George Bush nous donne à penser qu'il a décidé de ce qu'il allait faire», renchérit Rihab Massoud, bras droit du prince Bandar Ben Sultan, l'ancien ambassadeur saoudien aux États-Unis, très bien introduit outre-Atlantique. Sous-entendu : le président américain ne quittera pas <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Maison-Blanche">la Maison-Blanche</st1:PersonName> sans avoir «traité» la menace que représente le nucléaire iranien.

    Officiellement, la monarchie saoudienne, alliée de Washington, s'oppose à un nouveau conflit, de peur de voir la déstabilisation du Moyen-Orient s'aggraver. «Mais s'il éclate, les Saoudiens l'approuveront tacitement», note un diplomate occidental à Riyad. Tout autant que le nucléaire, l'Arabie saoudite redoute l'influence grandissante de Téhéran chez les pays arabes sunnites, comme l'Arabie. «Lorsqu'on parle du nucléaire iranien aux Saoudiens, poursuit le diplomate occidental, ils répondent Iraniens en Irak, Iraniens au Liban, Iraniens en Palestine et en Syrie.»

     

    http://www.lefigaro.fr/international/2007/11/15/01003-20071115ARTFIG00007-riyad-craint-une-attaque-americaine-contre-liran.php


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    «Ce sont souvent des sujets délicats, raison de plus pour les traiter avec délicatesse», a confié Jacques Chirac à propos de sa mission de membre permanent du Conseil constitutionnel. Crédits


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  • Alors que la chambre de l'instruction de Pau délibère sur le cas de Romain Dupuy, auteur du double homicide de l'hôpital psychiatrique de Pau, la question du traitement judiciaire des malades mentaux est de nouveau posée. L'avant-projet de loi actuellement à l'étude prévoit la suppression des non-lieux pour les malades mentaux criminels et l'instauration d'une nouvelle procédure aboutissant à des "décisions de culpabilité civile".

    La pénalisation de la folie est aujourd'hui une réalité. Les prisons françaises voient arriver, chaque année plus nombreux, des individus qui de toute évidence relèvent davantage d'une hospitalisation que d'une incarcération. Le nombre de détenus souffrant de troubles mentaux atteint aujourd'hui un seuil préoccupant. Les personnes souffrant de troubles psychotiques représenteraient aujourd'hui 23 % de la population pénitentiaire. La prison est en quelque sorte devenue l'annexe de l'hôpital psychiatrique...

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-978233,0.html

     

    POUR INFORMATIONS Complémentaires au 22 mars 2009 :

     

    Voir le site officiel du psychiatre Paul Bensussan :  http://www.paulbensussan.fr/

     

     


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    LETTRES A <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="LA GENERATION DE" w:st="on">LA GENERATION DE</st1:PersonName> <st1:PersonName ProductID="LA LIBERTE" w:st="on">LA LIBERTE</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="LA LIBERTE" w:st="on"></st1:PersonName> 

    Comment apprendre à la jeunesse à juger un chef d'Etat ?

     

    Vous vous interrogerez sur la nature de la cécité propre aux classes politiques en général et sur les liens que l'ignorance et la sottise des élites dirigeantes entretiennent avec la myopie des hommes doués seulement pour l'action immédiate. (...)

    Mais la courte vue spécifique de l'homme politique ignorant et inexpérimenté d'aujourd'hui devient plus démonstrative encore quand M. Nicolas Sarkozy s'imagine qu'à replacer <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> sous le joug de l'OTAN, il se mettrait en mesure d'exercer une influence prédominante sur son maître d'outre-Atlantique. (...)

    Si aucune force armée ne contraignait les brebis de l'OTAN à demeurer pelotonnées sous la houlette d'un général américain , comment ne chercheriez-vous pas dans les arcanes théologiques de la vassalité humaine la clé de soixante ans de " servitude volontaire " de l'Europe ?

     

    La suite :

    http://pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/europolitique/generation7.htm

     


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    L'Asie du Sud-Est entre ses géants

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Mercredi 21 novembre 2007 à 18h

    Salons de l'Hôtel Lutétia

    (45, boulevard Raspail - 75006 - Paris)

    <o:p></o:p>

    Les invités : Thierry Dana, directeur de TD Conseil, ancien conseiller du Président de la République ; Jean-Luc Domenach, professeur à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris et Directeur au CERI ; François Hauter, grand reporter au Figaro ; Michel Monnier, directeur à l'Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale ; François Raillon, directeur d'études au CNRS ; Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation Res Publica

    Inscrivez-vous à l'adresse électronique :  res-publica@wanadoo.fr


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    Le 7 novembre 2007 le Président Nicolas Sarkozy a prononcé devant le Sénat et la Chambre des représentants réunis d'Amérique un discours fort applaudi - Commentaire :

    " C'est la grande idée de ce président, le premier de ses objectifs diplomatiques : convaincre les Etats-Unis d'accepter enfin que l'Europe prenne en mains sa défense, les persuader de ne plus y faire obstacle, comme ils l'ont toujours fait et de leur offrir, en échange et en gage de confiance, le retour du plus indépendant de ses alliés depuis le général de Gaulle, le retour de la France, dans le commandement intégré de l'Alliance atlantique . (...)  Si ce tournant était pris, le monde s'en porterait moins mal ; mais, dans cet important discours, il y eut des faiblesses et des dérapages. Ne rien dire de l'Irak, c'était étrange. Réduire, de fait, la crise avec le monde islamique au "terrorisme", c'était au moins insuffisant. Appeler l'Amérique à être " fidèle à ses valeurs fondatrices " sans une allusion, même voilée, à Guantanamo et aux prisons secrètes, ce n'était pas digne d'un " ami debout ".

    Bernard Guetta du 8 novembre 2007


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    « Internationale et patrie sont désormais liées. C'est dans l'Internationale que l'indépendance des nations a sa plus haute garantie, c'est dans les nations indépendantes que l'Internationale a ses organes les plus puissants et les plus nobles. On pourrait presque dire: un peu d'internationalisme éloigne de la patrie, beaucoup d'internationalisme y ramène ».

     

    JEAN JAURES - "l'Armée Nouvelle" - 1911

     

    [Merci à Philippe]


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    Le Sarkophage, contre tous les sarkozysmes, journal d'analyse politique

     

    LE N°3 EST EN KIOSQUE

    le 17 NOVEMBRE!!

    Toujours 2 euros mais sur 20 pages au lieu de 16...

    « Exit le troisième tour social » Paul Aries - Editorial

    « Tribunal de l'invisible » Patrick Tort (Directeur de l'Institut Darwin)

    « La justice entravée » Emmanuelle Perreux (Présidente du syndicat de la magistrature)

    « Tripoli : neuf questions au Président » Stéphane Lhomme (réseau sortir du nucléaire)

    « Les nucléocrates communistes, meilleurs alliés de sarkozy » Paul Aries

    « Xénophobie d'Etat et politique de la peur » Olivier Le Cour Grandmaison

    « La civilisation, le barbare, le sauvage » Benoit Larbiou

    « Le Parti socialiste est-il toujours de gauche ? » Jean-Luc Mélenchon (sénateur socialiste)

    « Grenelle de l'environnement : la duperie monstrueuse »Yann Fiévet (vice-Président d'Action Consommation)

    « L'OTAN, Au vent mauvais ! » Jean-Luc Pujo (président des clubs penser la France)

    « Sarkozy ou la laïcité, il faut choisir » Jocelyn Bézecourt

    « La destruction du code du travail à marche forcée » Gérard Filoche

    « Les réseaux de Fadela Amara » Fouquier-Tinville

    « Le costume spinoziste de Sarkoz », Alain Jugnon

    « Insurrection » Alain Accardo

    « Verger et potager » Christian Sunt

    « L'irradiation des aliments » Véronique Gallais (Comité national contre l'irradiation des aliments)

    « Collège unique : impasse ou exigence ? » Daniel Rome


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    Le journaliste, patron de presse et homme politique Pierre Pujo est décédé aujourd'hui, à Paris, à l'âge de 77 ans.

    Pierre Pujo était né le 19 novembre 1929 à Boulogne-Billancourt. Il était le fils de Maurice Pujo (1872 - 1955) qui, aux côtés de Charles Maurras (1868 - 1952) fut l'un des fondateurs de l'Action française. Élève de Science-Politique sur les même bancs que Jacques Chirac, il rejoint les rangs des étudiants monarchistes. Militant pour la défense de l'Algérie française, directeur du mensuel AF Université puis de l'hebdomadaire Aspects de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>, il mène avec succès le combat pour le maintien de l'île de Mayotte au sein de la nation française à la fin des années 1970.

    Lors des élections présidentielles de 2002 il apporta son soutien à la candidature de Jean-Pierre Chevènement. Jusqu'à aujourd'hui il fut le directeur du bimensuel royaliste Aspects de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>, rebaptisé L'Action française 2000.

     

    "Les Républicains français se doivent de saluer un Homme qui aimait la France" jluc Pujo


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