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    « Un traité loin des citoyens »  par Thomas Ferenczi

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Est-il acceptable que la réforme des institutions européennes, adoptée à Lisbonne par les 27 chefs d'Etat et de gouvernement, soit soumise en France au seul vote du Parlement après avoir été rejetée par référendum il y a un peu plus de deux ans ? Ceux qui demandent l'organisation d'une nouvelle consultation populaire font valoir, à juste titre, que le futur traité, au terme des ultimes négociations, ressemble beaucoup au projet de Constitution européenne repoussé en 2005, dont la "substance", à en croire, parmi d'autres, la chancelière allemande, Angela Merkel, a été préservée, et que, dans ces conditions, la même procédure de ratification devrait prévaloir. A supposer même que le nouveau texte diffère sensiblement du précédent, on ne voit pas pourquoi la méthode choisie pour son approbation changerait. Lorsque les Français ont refusé, en mai 1946, lors de la naissance de la IVe République, le premier projet de Constitution soumis à leur vote, une nouvelle consultation a eu lieu cinq mois plus tard sur un texte modifié, qui a recueilli une majorité de suffrages. On sait aussi que les Danois ont écarté par référendum le traité de Maastricht en 1992 avant de l'approuver l'année suivante et que, de la même manière, les Irlandais ont dit non au traité de Nice en 2001 avant de dire oui en 2002.

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-971034,0.html


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  • léo ferré - l'affiche rouge
    Vidéo envoyée par bisonravi1987

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    « Il a surtout Bush dans l'oreille »

     

    Ce qu'on demande généralement à un traducteur, c'est de traduire, non de militer. Pourtant, l'outil de traduction de Google montre quelques signes de subjectivité rare à l'encontre de la première personnalité française, le président Nicolas Sarkozy !

    Qu'on en juge : en lui demandant de traduire du français à l'anglais les expressions qui contiennent le mot « Sarkozy », Google traduit systématiquement le nom en Blair ou Bush ou parfois... Chirac. On obtient alors de curieux résultats...

     

    http://www.pcinpact.com/actu/news/39621-traduction-google-chirac-nicolas-sarkozy-bla.htm 

     

    [Merci à Benoît]


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    APPEL NATIONAL - PÉTITION NATIONALE

     

    POUR l'organisation d'un RÉFÉRENDUM

     

    pour ou contre ! le « TRAITÉ SIMPLIFIÉ  » organisant l'Europe

     

    http://www.penser-la-france.asso.fr/urgent.html

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    3 commentaires
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    « Il faut un référendum ! »

     

    Oui ! C'est bien chacun d'entre nous qui doit se lancer dans la bataille, chaque citoyen, de toutes ses forces s'il ne veut pas renier son Non de 2005, et même son Oui, car il n'est pas question ici de contenu du traité, d'espérances ou pas dans l'Europe, mais de démocratie. Les partis politiques sont atones sur la question ? Les associations en deçà de ce qu'elles devraient faire ? C'est à chacun de nous de prendre les choses en main, de bousculer les uns et les autres, d'interpeller les médias, de diffuser l'information autour de nous, d'agir, d'agir et vite ! La démocratie ne nous sera enlevée des mains que si nous acceptons qu'elle nous le soit !

     

    http://www.traite-simplifie.org/


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Si <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">la République</st1:PersonName> se définit d'abord par la souveraineté du Peuple, il se pourrait bien qu'elle nous divise aujourd'hui plus qu'elle ne nous réunisse. En effet, loin des consensus mous qui nous font si souvent communier dans la religion de l'existant (<st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">la République</st1:PersonName> identifiée au suffrage universel) ou bien dans la bienpensance (la « Constitution européenne » prématurément intégrée à notre Constitution), <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La République">la République</st1:PersonName> est d'abord une exigence de responsabilité civique. Le citoyen est une parcelle du Souverain et la citoyenneté s'apprend. C'était le rôle de l'Ecole publique d'« éduquer à la liberté », dans un espace laïque où la seule religion était celle de l'intérêt commun. La citoyenneté demande à chacun d'oublier son intérêt particulier pour se hausser à la hauteur de l'intérêt général.

     

    http://www.chevenement.fr/L-avenir-europeen-de-l-idee-republicaine_a452.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=27467&


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    La lecture de la lettre de Guy Moquet dans les classes de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> soulève des sentiments paradoxaux.

    Symbole de résistance, de sacrifice, d'abnégation et d'amour de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> , cette lettre nous touche tous. Emouvante, elle glorifie le sacrifice de ceux qui ont eu à cœur de résister au nom de valeurs supérieures.

    Pourtant, cette célébration annoncée dans le cadre d'une campagne présidentielle fourre-tout, véritable opération de détournement de mémoire - abjecte donc ! - nous apparaît soudain dans son effroyable puanteur : Proclamation d'un non Gaulliste, d'un non résistant, d'un petit Monsieur, représentant des forces symboliques de l'Empire dévouées au Marché !

    Le sentiment de rejet tout naturel ouvre ainsi la voie à des réactions compréhensibles bien que parfois ridicules : de quelques gauchistes, qui n'en peuvent mais de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> , de l'héroïsme, de la patrie ; d'enseignants qui de manière inacceptable refusent tout de go d'appliquer une circulaire ministérielle, s'arrogeant ainsi le pouvoir de légiférer, de décréter...

    Le cirque de Nicolas mérite certes réponse, mais une autre réponse.

    Lire <st1:PersonName ProductID="la Lettre" w:st="on">la Lettre</st1:PersonName> de Guy Moquet est une obligation.

    Mais cette lecture doit être accompagnée : Expliquer la force, la puissance du message de <st1:PersonName ProductID="la Résistance" w:st="on">la Résistance</st1:PersonName> c'est former notre jeunesse à ce sentiment premier : le devoir supérieur de lutter contre toute forme frelatée de la démocratie, qui insulte la mémoire même de ceux qui se sont sacrifiés.

    Eduquer à la résistance, est ainsi la meilleure des réponses à cette tentative éhontée de politique dévoyée.

    Eduquer notre jeunesse à la résistance devient ainsi la plus juste des réponses à cette vulgaire mascarade !

    Comme un simple mais magnifique « retour à l'envoyeur » ?

     

    Jean-Luc Pujo

    Président des Clubs "Penser la France"


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    Le pouvoir d'achat est un sujet de controverse récurrent en France depuis que le passage à l'euro, en <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter ProductID="2002, a" w:st="on">2002, a</st1:metricconverter> amplifié l'écart entre ce que disent les chiffres et ce que ressent l'opinion. Le chef de l'Etat en fait une "priorité nationale" et le gouvernement lui consacre, mardi 23 octobre, une conférence sociale.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    Les statisticiens de l'Insee sont formels, le pouvoir d'achat devrait, selon eux, progresser pour la troisième année consécutive : + 1,7 % en 2005, + 2,3 % en 2006, + 2,8 % en 2007. Quant à l'inflation, elle reste historiquement basse malgré une légère remontée en septembre (+ 1,5 %). Les ménages ont néanmoins du mal à se convaincre de la sagesse des prix quand ils voient valser les étiquettes de la baguette ou des yaourts. Et ils sont nombreux à penser qu'avec l'euro leur pouvoir d'achat s'est réduit comme une peau de chagrin.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-969727,0.html


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    Du 17 au 25 novembre dans toute <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName>, organisée localement par des milliers d'acteurs locaux (associations, collectivités, établissements scolaires, comités d'entreprises, syndicats...).

     

    Que va-t-il se passer pendant <st1:PersonName ProductID="La Semaine" w:st="on">la Semaine</st1:PersonName> près de chez vous ? Quelles structures locales y participent ? Consultez le programme des animations par critères de recherche (l'enregistrement est fait par les organisateurs eux-mêmes au fur et à mesure).

     

    Consultez le programme des animations 2007 : http://www.lasemaine.org/spip.php?article132


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    Malgré des tentatives de prendre le sujet à bras-le-corps, l'enseignement de l'histoire de l'immigration témoigne d'une "carence" de l'éducation nationale, contribuant à entraver "la construction d'une mémoire collective scolairement partagée". Tel est le principal constat d'un rapport conjoint de l'Institut national de recherche pédagogique (INRP) et de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la CNHI" w:st="on">la Cité</st1:PersonName> nationale de l'histoire de l'immigration (CNHI). Remis vendredi 19 octobre à Jacques Toubon, président du conseil d'orientation de <st1:PersonName ProductID="la CNHI" w:st="on">la CNHI</st1:PersonName>, ce rapport est le fruit d'un travail de deux ans, dirigé par Benoît Falaize, spécialiste de ces questions, agrégé d'histoire, chargé d'études et de recherches à l'INRP, avec Olivier Absalon et Pascal Mériaux. Programmes scolaires, manuels, pratiques enseignantes : le premier souci des rapporteurs a été de dresser un état des lieux sur un sujet controversé. A cet égard, ils contestent aussi bien l'idée d'un refus "communautariste" de l'histoire de France que les assertions courantes sur la prétendue absence de l'esclavage et de la colonisation dans les programmes et les manuels scolaires. Mais il en va différemment de l'histoire de l'immigration proprement dite : selon ces chercheurs, elle n'est qu'exceptionnellement envisagée "comme un thème d'étude en lui-même".

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-969703,0.html


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    "L'homme est en train de créer quelque chose qui le dépasse ou qui va le dépasser. Cette chose, pour certain une intelligence pour d'autres une dimension ou une singularité se met progressivement mais aussi de plus en plus rapidement en place.
    Elle résulte notamment de la convergence "NBIC" : Nanotechnologies / Biotechnologies / Sciences de l'Information / Sciences Cognitives

    Et cela va TOUT changer !!

    Comme la terre n'était pas au centre de l'Univers, l'homme n'est pas non plus au centre de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Vie">la Vie</st1:PersonName> et de l'Evolution.
    L'humanité n'est qu'une étape vers plus de complexité, d'intelligence et de compréhension, vers quelque chose qui la transcende..."

     

    Ce type de texte-programme circule sur le WEB dans quel but ?

    Avons-nous suffisamment réfléchi aux immenses dangers auxquels nous allons être confrontés ?


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