• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Les dirigeants européens ont sorti de leur chapeau une constitution vidée de sa substance. Récit d'une complaisance béate.

     

    19 octobre 2007. Scène de magie à Lisbonne. De l'enveloppe de la « Constitution européenne » est extrait, sous les acclamations des chefs d'Etat et de gouvernement émerveillés, le noyau dur : une Union européenne gouvernant par l'entremise de comités d'experts, de sages et de juges, toutes instances indépendantes des peuples mais non, assurément, des lobbies. Et chacun de se féliciter et de rentrer chez soi avec une injonction et une seule : plaudite, cives !

    Vous avez aimé la grande soeur ? Vous allez adorer la petite. Revoici les actes législatifs que ne contrôle aucun peuple souverain, les décisions à la majorité qualifiée réglant notre vie quotidienne, notre vie économique et sociale, une justice qui ne rend de comptes à personne, tout occupée qu'elle est à régler les principes fondamentaux de nos sociétés ainsi d'ailleurs que les moeurs, un Parlement qui ne décide pas de la loi et ne contrôle aucun exécutif, sans oublier le festin des peuples : un droit de pétition comme aux plus beaux temps de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Restauration.">la Restauration.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Restauration."></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Restauration."></st1:PersonName>http://www.marianne2.fr/Le-miracle-de-Lisbonne_a80580.html?PHPSESSID=bad06cc209ecbe77343faf09c078e002 

     

    [Merci à Nicole]


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    « Traité européen : c'est le peuple qui doit décider » LAURENT FABIUS !

    "Ce qui a été décidé par référendum ne peut être réexaminé que par référendum. Une autre procédure ne serait pas vraiment démocratique. Sur cette base, j'espère que ce sera l'occasion pour les socialistes de se rassembler." Interview de Laurent Fabius publiée par Le Parisien / Aujourd'hui en France.

    Voterez-vous le projet de traité simplifié adopté à Lisbonne, qui se fixe pour objectif de désembourber l'Europe ?

    Laurent Fabius. Le projet, avec ses 250 pages et ses 297 amendements, n'est pas plus « simplifié » que le précédent. En 2005, le peuple s'était prononcé par référendum.

    Ce qui a été décidé par référendum ne peut être réexaminé que par référendum. Une autre procédure ne serait pas vraiment démocratique. Sur cette base, j'espère que ce sera l'occasion pour les socialistes de se rassembler.

     

    http://www.laurent-fabius.net/article996.html


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    Depuis qu'elle existe, l'humanité a su cultiver l'art de raconter des histoires, un art au coeur du lien social. Mais depuis les années 1990, aux Etats-Unis puis en Europe, il a été investi par les logiques de la communication et du capitalisme triomphant, sous l'appellation anodine de « Storytelling » : celui-ci est devenu une arme aux mains des 'gourous' du marketing, du management et de la communication politique, pour mieux formater les esprits des consommateurs et des citoyens. Derrière les campagnes publicitaires, mais aussi dans l'ombre des campagnes électorales victorieuses, de Bush à Sarkozy, se cachent les techniciens sophistiqués du storytelling managment ou du digital storylelling C'est cet incroyable hold-up sur l'imagination des humains que révèle Christian Salmon dans ce livre, au terme d'une longue enquête consacrée aux applications toujours plus nombreuses du storytelling : le marketing s'appuie plus sur l'histoire des marques que sur leur image, les managers doivent raconter des histoires pour motiver les salariés, les militaires en Irak s'entraînent sur des jeux vidéos conçus à Hollywood et les spin doctors construisent la politique comme un récit... <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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    Une "réprimande" a été requise contre le juge Van Ruymbeke dans l'affaire Clearstream.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-971342,0.html


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    « Une plainte pour "torture" déposée en France contre Donald Rumsfeld »

     

    Une plainte pour "torture" a été déposée, jeudi 25 octobre à Paris, par quatre organisations de défense des droits de l'homme, contre l'ancien secrétaire américain à la défense, Donald Rumsfeld, qui effectue une visite privée en France pour participer vendredi à une conférence au Cercle interallié.

    La plainte a été déposée auprès du procureur du Tribunal de grande instance de Paris, Jacques Marin, et elle s'assortit d'une demande de "détention" de M.Rumsfeld, ou de mesures assurant "sa présence sur le territoire" français.

    Les plaignants sont <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Fédération" w:st="on">la Fédération</st1:PersonName> internationale des ligues des droits de l'homme (FIDH), <st1:PersonName ProductID="la Ligue" w:st="on">la Ligue</st1:PersonName> française des droits de l'homme, et deux organisations non gouvernementales étrangères, le Center for Constitutionnal Rights (Centre pour les droits constitutionnels), basé à New York, et le European Center for Constitutional and Human Rights (Centre européen pour les droits constitutionnels et humains), dont le siège est à Berlin.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-971351,0.html


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    « Italie : ils reprennent le concept "Brigades rouges" »

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Quel lien y a-t-il entre Vicenzo Sisi, 54 ans, délégué syndical sans histoires dans une grande entreprise de Turin, et Federico Salotto, 23 ans, un garçon "timide et effacé" qui travaille dans la petite imprimerie de son père à Padoue ? Que peuvent avoir en commun Amarilli Caprio, une jeune femme de 27 ans originaire de Vénétie, férue de poésie et militante pour les sans-abris, et le Milanais Salvatore Scivoli, 55 ans, vieil habitué des quartiers de haute sécurité depuis ses premiers démêlés avec la justice dans les années 1970 pour vol, détention d'armes et tentative de meurtre ? Ils font partie d'un groupe de quinze personnes arrêtées en février à Milan, Turin et Padoue, auxquelles se sont ajoutées, courant juillet, deux autres déjà détenues pour d'autres affaires. Tous sont accusés d'appartenir à une "organisation à finalité terroriste et subversive" dénommée Parti communiste politico-militaire (PCP-M), héritière directe des Brigades rouges (BR). L'audience préliminaire de leur procès devrait avoir lieu fin novembre-début décembre à Milan. Ce sera l'énième procès de BR en Italie où, près de quarante ans après le début des années de plomb, l'idée du recours aux armes comme solution politique et sociale subsiste.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-971540,0.html


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    Peut-on se rapprocher d'un régime présidentiel ?

     

    Lundi 5 novembre 2007

     

    Maison de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Chimie" w:st="on">la Chimie</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="la Chimie" w:st="on"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName ProductID="la Chimie" w:st="on"></st1:PersonName>28 rue Saint Dominique

     

    75007 Paris

     

    Les invités :  Marie-Françoise Bechtel, Conseiller d'Etat ;Christophe Boutin, professeur à l'Université de Caen ; Anne-Marie Le Pourhiet, professeur à l'Université de Rennes ; Michel Troper, professeur à l'Université de Paris X et Jean-Pierre Chevènement, président de <st1:PersonName ProductID="la Fondation Res" w:st="on">la Fondation Res</st1:PersonName> Publica

     

    Inscrivez-vous : info@fondation-res-publica.org<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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  • Le Chef de l'État a publiquement posé le dilemme entre « bombe iranienne » et « bombardement de l'Iran ». Son ministre des Affaires étrangères l'a relayé en déclarant qu'il fallait « se préparer à la guerre ».

    Affirmer d'emblée, au départ d'une crise, une « logique de guerre », c'est évidemment prêter la main à une prophétie autoréalisatrice.

    Après la rencontre de Nicolas Sarkozy avec George. W Bush, on peut craindre que ces déclarations ne marquent notre alignement et la résignation de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> à laisser le champ libre à l'aventurisme militaire des faucons américains.

    Que ceux-ci puissent laisser entrevoir la menace de frappes militaires sur les sites stratégiques de l'Iran pourrait à la limite se concevoir, si cette menace pouvait contribuer à amener ce grand pays à soumettre son industrie nucléaire civile à tous les contrôles de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). La menace cependant est à double tranchant : elle pourrait aussi favoriser en Iran le camp des durs, comme on croit l'apercevoir avec le remplacement du négociateur iranien, Ali Larijani.

     

    http://www.lefigaro.fr/debats/20071026.FIG000000055_non_a_la_logique_de_guerre_avec_l_iran.html


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  • Yvon Gattaz a jeté un pavé dans la mare en s'exprimant sur l'affaire déclenchée par la mise en cause de Denis Gautier-Sauvagnac, président de l'Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM), à propos de mystérieux retraits de millions d'euros en liquide. Pour l'ancien patron des patrons - M. Gattaz a présidé le CNPF de 1981 à 1986 -, c'est la fin de l'"omerta" sur un fait "de notoriété publique": depuis plus d'un siècle, une caisse du patronat "servait au financement des syndicats". Alors que tous les syndicats ont nié avec véhémence avoir reçu le moindre centime du monde patronal, Laurence Parisot, la présidente du Medef, a parlé de la "révélation d'un secret de famille", recourant, pour l'occasion, à un étrange oxymore : "Beaucoup savaient inconsciemment."

    Gigantesque et gravissime entreprise de corruption des syndicats ? Histoire fantasmagorique sur l'argent noir du patronat et des syndicats, où c'est le numéro deux du Medef qui est incriminé mais où le soupçon se déplace sur les syndicats qui, en définitive, trinquent ? En l'absence de règles claires et transparentes, le financement des syndicats alimente la boîte à rumeurs, mêlant interrogations justifiées et faux procès. Il en est ainsi de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Caisse" w:st="on">la Caisse</st1:PersonName> centrale des activités sociales (CCAS) d'EDF, au budget annuel de 480 millions d'euros, qui a fait l'objet d'une information judiciaire, en 2004, et a été épinglée, en avril, par <st1:PersonName ProductID="la Cour" w:st="on">la Cour</st1:PersonName> des comptes qui lui a reproché en vrac "absence totale de transparence, incohérence, non-respect du droit fiscal et social". En creux, <st1:PersonName ProductID="la CCAS" w:st="on">la CCAS</st1:PersonName> est soupçonnée, depuis sa création en 1946, de financer le Parti communiste et <st1:PersonName ProductID="la CGT." w:st="on">la CGT.</st1:PersonName>

    <st1:PersonName ProductID="la CGT." w:st="on"></st1:PersonName> 

    <st1:PersonName ProductID="la CGT." w:st="on"></st1:PersonName>http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-971537,0.html


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    « LETTRES A <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="LA GENERATION DE" w:st="on">LA GENERATION DE</st1:PersonName> <st1:PersonName ProductID="LA LIBERTE" w:st="on">LA LIBERTE</st1:PersonName> »

    par un de nos grands Maîtres, le Philosophe Manuel de DIEGUEZ

    Réflexions sur la destitution du Président de <st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> en vertu de l'art. 67 de <st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> du 23 février 2007

     

    Par deux fois déjà, je vous ai entretenus de l'étendue, de la nouveauté et de la fécondité du champ non seulement ouvert, mais imposé à la pensée philosophique, politique, anthropologique , psychologique, historique et même psychanalytique par la nécessité, pour les juristes internationaux de demain, d'approfondir leur réflexion sur l'art. 67 introduit le 23 février 2007 dans <st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> française par le biais d'une procédure de destitution pure et simple pour cause " d'inaptitude manifeste " d'un Président de <st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> pourtant régulièrement élu par le verdict du suffrage universel ; car, vous le savez, dans toutes les grandes démocraties, le vote populaire fonde une souveraineté de la raison politique supposée avoir pris légitimement la relève de l'infaillibilité doctrinale des théologies traditionnellement tenues pour bénéficiaires de l'autorité qu'une " révélation " du ciel leur confère.

     

    http://perso.orange.fr/aline.dedieguez/tstmagic/1024/tstmagic/europolitique/generation2.htm


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