• <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    « Ministère de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Mondialisation">la Mondialisation</st1:PersonName>  » : Lapsus révélateur ?

     

    Dans <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Lettre">la Lettre</st1:PersonName> de Mission que le président (oui ! Avec un petit "p") de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> vient d'adresser ce jour - 31 août 2007 - à notre ministre des Affaires étrangères, il est possible de lire cette formule décapante :

     

    "C'est en définitive vers un ministère de la mondialisation que nous vous demandons de faire évoluer notre outil diplomatique."

     

    Ne voilà-t-il pas un lapsus révélateur ?

     

    Ce ministère n'est plus un ministère français en charge des intérêts français, mais bel et bien la courroie de transmission, de préparation, de soumission à la logique de l'Empire.

     

    La formule sonne comme un aveu ou la révélation d'une incroyable démission.

     


    votre commentaire
  •  

    « Trois élections présidentielles : démocratie «moderne» et refondation républicaine de la gauche »

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Dans ce long texte, Jean-Pierre Chevènement étudie l'« américanisation » de la vie politique à travers médias et sondages, propose une analyse comparée des trois dernières élections présidentielles (1995, 2002, 2007), revient sur la campagne présidentielle de 2007 et les contradictions non tranchées du Parti socialiste, et estime enfin que le PS doit résoudre son problème avec la nation.

    <o:p> </o:p>

    http://www.chevenement.fr/Trois-elections-presidentielles-democratie-moderne-et-refondation-republicaine-de-la-gauche_a413.html?preaction=nl&id=3345999&idnl=25198&


    votre commentaire
  •  

    « Nombreux sont les français qui comme moi, salueront le parcours sans tache et l'unité incomparable de la vie de ce grand citoyen »

     

    Jean-Pierre Chevènement

     


    votre commentaire

  • votre commentaire
  •  

    Entretien de Jean-Pierre Chevènement, Le Parisien, propos recueillis par Philippe Martinat, mercredi 29 août 2007.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Le Parisien : La gauche peut-elle se relever de sa défaite?
    Jean-Pierre Chevènement : Je trouve d'abord peu élégant de taper à bras raccourcis sur une candidate qui a quand même fait 47% des voix, soit 17 millions de suffrages. Ségolène Royal a fait une campagne courageuse, elle a su résister victorieusement à l'offensive pro-Bayrou menée de l'intérieur même du PS par les Gracques, Michel Rocard, Bernard Kouchner et quelques autres. Il faut examiner sérieusement ce qui s'est passé: il n'est pas vrai que la candidate a été désignée par les sondages. C'est la crise interne du PS après le rejet de la constitution européenne le 29 mai 2005 qui lui a ouvert un boulevard en la mettant en meilleure situation que ses concurrents.

     

    http://www.chevenement.fr/Entretien-de-Jean-Pierre-Chevenement-au-Parisien-La-gauche-est-a-refaire-_a412.html?PHPSESSID=6d98652b201c45d15aa27618469a39c2

     


    votre commentaire
  • « Peut-on parler d'un système politico-médiatico-sondagier ? »

    LUNDI 10 SEPTEMBRE 2007

     

    (« attentes » à travers les enquêtes d'opinion - stratégie de marketing - étude des campagnes présidentielles de 1995, 2002, 2007)

    Intervenants :   P. CHAMPAGNE, N. DOMENACH, S. ROZES, E. ZEMMOUR et conclusion de JP CHEVENEMENT

     

    Inscription : info@fondation-res-publica.org

     


    votre commentaire
  •  

    Selon le préfet de Santa Cruz, Ruben Costas, la grève "a été un succès". A en croire le gouvernement, le mouvement a été partiellement suivi dans les chefs-lieux de département, mais très peu dans les zones rurales. Le ministre de l'intérieur a dénoncé des violences et les piquets de grève de l'Union des jeunes de Santa Cruz (extrême droite). L'oligarchie "rêve nuit et jour de renverser cet Indien", a accusé M. Morales, d'origine aymara.

    Principal allié du président vénézuélien, Hugo Chavez, son homologue bolivien, Evo Morales, suscite une contestation croissante. Six départements, sur les neuf que compte <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Bolivie" w:st="on">la Bolivie</st1:PersonName>, ont observé une grève générale contre son gouvernement, mardi 28 août, pendant vingt-quatre heures. Alors que l'opposition de droite contrôlait quatre départements - Santa Cruz, Beni, Pando et Tarija, à l'est et au sud -, le mécontentement s'est étendu aux départements de Cochabamba et Chuquisaca (centre), où M. Morales avait obtenu une majorité des voix à l'élection présidentielle de 2005.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3222,36-949317@51-949438,0.html

     


    votre commentaire
  •  

    DUPONT-AIGNAN dénonce les reniements de SARKOZY en politiques étrangères et européennes !

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    votre commentaire
  • « La chancellerie convoque un procureur pour ses propos sur les peines planchers »

     

    Un magistrat du parquet de Nancy, Philippe Nativel, a été convoqué, mercredi 29 août, à la chancellerie, afin de s'expliquer devant le directeur des services judiciaires sur des propos tenus lors d'un réquisitoire en audience correctionnelle. Il était accompagné du procureur de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la R←publique" w:st="on">la République</st1:PersonName>, Michel Senthille, et du procureur général, Gilles Lucazeau.

    Lundi 27 août, un homme de 27 ans est déféré en comparution immédiate. Il a été surpris en flagrant délit sur le parking d'une grande surface alors qu'il revendait de la cocaïne. Ce n'est pas la première fois. En 2006, il avait été condamné pour des faits identiques à deux ans de prison dont un an ferme. Il n'en avait purgé que vingt et un jours.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-949334@51-917921,0.html

    votre commentaire
  •  

    Au-delà du fait divers, la délinquance reprochée à Francis Evrard lance un défi à la puissance publique qui ne réussit pas, en dépit d'une répression écrasante, à empêcher la réitération des agressions sexuelles. Ni l'incarcération pendant près de trente ans, ni le contrôle judiciaire, ni la menace d'une condamnation encore plus sévère n'ont été dissuasifs. Ainsi que l'a constaté la ministre de la justice, l'échec de la sanction est flagrant.

    C'est pourquoi l'homme de l'Elysée veut donner l'impression de subir les actes de Francis Evrard comme une offense personnelle. Et les mesures qu'il propose découlent peut-être d'une attitude vigoureuse mais ne leur confèrent aucune garantie de constitutionnalité ni d'efficacité.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-948829,0.html

     


    votre commentaire
  •  

    La proposition ahurissante, car d'évidence anticonstitutionnelle, faite par le président de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la R←publique" w:st="on">la République</st1:PersonName> de prévoir, en quelque sorte, une double peine, c'est-à-dire de contraindre des délinquants sexuels à être hospitalisés à l'issue de l'exécution de leur peine, a suscité à gauche des commentaires favorables... Certes, ici ou là, quelques réserves d'usage sont faites, mais on sent bien que chacun est embarqué dans une spirale de surenchère électoraliste, en oubliant pourtant quelques évidences qui se volatilisent sous le fracas des contre-vérités.

    On entend par exemple que les pédophiles, et au-delà les délinquants sexuels, seraient plus récidivistes que les autres. C'est archifaux. On évalue à 10 % à 15 % de récidivistes parmi les délinquants sexuels et lorsque l'on consulte le taux de récidive à partir des documents officiels édités par le ministère de la justice, on constate aisément que ceux qui sont poursuivis pour agression sur les biens ou trafic de stupéfiants récidivent nettement plus que les délinquants sexuels.

     

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-948403,0.html

     


    1 commentaire
  • At the Same Time: Essays & Speechesby Susan Sontag, edited by Paolo Dilonardo and Anne Jump, with a foreword by David RieffFarrar, Straus and Giroux, 235 pp., $23.00

    Susan Sontag was that unimaginable thing, a celebrity literary critic. Most readers of The New York Review probably would have been able to recognize her on the street, as they would not, say, George Steiner. An icon of braininess, she even developed, like Einstein, a trademark hairdo: an imperious white stripe, reminiscent of Indira Gandhi, as though she were declaring a cultural Emergency. Most readers probably know a few bits about her life, as they do not of any other critic: the girl Susan Rosenblatt—Sontag was her stepfather—in her junior high class in Arizona, with Kant, not a comic book, hidden behind her textbook. Her teenaged marriage to Philip Rieff that was her entry into highbrow society. ("My greatest dream was to grow up and come to New York and write for Partisan Review and be read by 5,000 people.") Her trip to Hanoi in 1968. The mini-skirted babe in the frumpy Upper West Side crowd and her years as the only woman on the panel. The front-page news in 1982 when, after years of supporting various Marxist revolutions, she declared that communism was "fascism with a human face." Her months in Sarajevo in 1993, as the bombs fell, bravely or foolishly attempting to put on a production of Waiting for Godot. Her struggle with cancer. Her long relationship with the glamour photographer Annie Leibovitz. We even know—from Leibovitz's grotesque "A Photographer's Life" exhibition and book—what Sontag looked like in the last days of her life and after her death.

    http://www.nybooks.com/articles/20494

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires