• Bordeaux : 5 AVRIL
    Metz : 11 AVRIL
    Nantes : 16 AVRIL
    Toulouse : 19 AVRIL


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    Le chômage, encore et toujours la première préoccupation des FrançaisEn tête des inquiétudes des Français (et cela depuis mars 2004), le chômage est cité par 73% des répondants. La polémique autour des chiffres du taux de chômage de l'INSEE ne semble pas avoir été réellement entendue par l'opinion (ou en tout cas avoir suscité beaucoup d'émoi), puisque la préoccupation pour ce thème n'est en hausse que de 2 points par rapport à février.

    L'avenir du système de protection sociale inquiète les FrançaisLe financement des retraites est un sujet de préoccupation pour 48% des Français (soit son niveau record) ; les plus inquiets sur cette thématique sont également les plus immédiatement concernés, à savoir les 50-64 ans (58% de citations) et les plus de 65 ans (61%). Le poids de ces catégories d'âge étant de plus en plus important dans la société (ils représentent plus du tiers de la population française), on comprend mieux pourquoi ce thème est la 2ème préoccupation des Français, malgré sa faible importance chez les plus jeunes, notamment les moins de 35 ans (un peu plus du tiers d'entre eux seulement le citent).

    Lire la suite : http://www.tns-sofres.com/etudes/pol/280307_preocconso_n.htm


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  • « TRAHISON », « échec », « chiffres artificiels », les ONG ne décoléraient pas hier à la lecture des données publiées par le Comité d'aide au développement (CAD) de l'OCDE, qui restait, lui, très factuel : l'aide des riches aux pays pauvres « a baissé de 5,1 % l'année dernière à 103,9 milliards de dollars contre 106,8 en 2005. » Son premier recul depuis 1997.

    Là où l'affaire est d'une amère ironie, c'est que si <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="2005 a">2005 a</st1:metricconverter> été une année record en matière d'aide, c'est principalement le fait... d'allégements de dettes, à hauteur de 20 %, au bénéfice de pays « géostratégiquement corrects » : le Nigeria et l'Irak. En 2006, pas (ou peu) de remises de dettes se traduisent donc par un recul de l'aide.

    Les États-Unis ne s'en sortent pas trop mal, en valeur absolue, avec une enveloppe de 22,7 milliards de dollars. Mais celle-ci a chuté de 20 % en termes réels, Washington ayant décidé en 2005 de passer un coup d'éponge total sur ses créances en cours avec l'Irak. L'Union européenne se félicitait hier d'avoir dépassé l'objectif qu'elle s'était fixé, passer de 0,39 % à 0,42 % de son PIB, soit 48 milliards d'euros. Mais selon Concord, une confédération de 1 600 ONG européennes, les gouvernements européens, dont <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName>, « ont gonflé leurs chiffres : un tiers de l'aide n'est pas réel. Ce ne sont qu'annulations de dettes ! »

    Reste que l'Afrique - à qui les huit pays les plus riches de la planète avaient promis la main sur le coeur, lors du sommet de Gleneagles, d'augmenter l'aide de 50 milliards de dollars d'ici à 2010 - va devoir attendre. Sauf, souligne l'OCDE, si les pays riches « doublent le rythme de croissance annuel de l'aide qu'ils octroient ». Ce qui semble compromis puisque cela fait déjà plus de trente ans qu'ils peinent à respecter leurs engagements.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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  • Si les incidents de la gare du Nord avaient eu lieu sous un gouvernement de gauche, ils eussent été portés au débit de la gauche.
    Sous un gouvernement de droite, c'est encore la gauche qui est « coupable ». Nicolas Sarkozy est exonéré de la responsabilité de ces violences. Ses outrances verbales et la priorité donnée à la police d'intervention au détriment de la police de proximité sont pourtant largement responsables de la montée des tensions urbaines et des agressions contre les policiers. Ségolène Royal, selon Nicolas Sarkozy, serait donc « du côté des fraudeurs », tout simplement. M. Sarkozy ne se contente pas de manipuler les statistiques, il déforme, il caricature - que dis-je ? il ment effrontément, avec cette démagogie outrancière, caractéristique d'une certaine droite, sans foi ni loi. La police est un art difficile qui demande sang froid et délicatesse. L'ex « premier flic de France » a donné et donne l'exemple du contraire.


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> "Tous les indicateurs sont convergents, les Français souhaitent que la société française soit réformée. Ils nous répondent massivement oui : 9 % souhaitent une transformation radicale et 41 % en profondeur, soit un Français sur deux. Un tiers de plus - 34 % - nous disent qu'il faut faire bouger la société sur plusieurs aspects sans toucher à l'essentiel, 1 % seulement ne veulent rien changer et 13 % souhaitent un retour en arrière. Cette attente touche toutes les catégories, gauche et droite, cadres ou ouvriers, les jeunes et plus âgés, au moins jusqu'à 65 ans.Ce désir de changement répond à la perception inquiète ou négative de la situation présente. Les grands sujets de préoccupation sont connus : le chômage encore et toujours ; le financement du système de protection sociale (retraites et santé), qui n'a cessé depuis des années de miner les certitudes des Français. Viennent ensuite l'éducation, le pouvoir d'achat, l'insécurité, les déficits et les inégalités. Sur tous ces sujets, les choses vont d'autant moins bien aux yeux des Français qu'ils sont très sévères à l'égard des hommes politiques jugés (par 63 % des sondés) trop éloignés des vrais sujets de préoccupation des citoyens. Pendant longtemps, on a expliqué que le clivage central entre la gauche et la droite rendait les réformes difficiles. Or le paysage a beaucoup évolué. Sur bien des enjeux, sympathisants de gauche et de droite se rapprochent. Par exemple, le remboursement par les entreprises qui délocalisent des aides publiques dont elles ont bénéficié est approuvé par 87 % des sympathisants de gauche, mais aussi de droite. De même, 86 % à gauche approuvent l'augmentation du smic à 1 500 euros brut par mois d'ici cinq ans, mais 73 % à droite également. La suppression des droits de succession est soutenue à 87 % à droite, mais tout de même à 70 % à gauche. Le clivage droite-gauche n'a pas pour autant disparu. Ainsi, la suppression des allocations chômage pour les chômeurs qui refusent plus de deux emplois est massivement approuvée par les sympathisants de droite (71 %), contre 47 % - tout de même - chez les sympathisants de gauche. De même, la généralisation des 35 heures ou l'assouplissement du code du travail pour faciliter à la fois les licenciements et les embauches, ou encore la régularisation des sans-papiers divisent très fortement les Français en deux blocs. Au total, on constate davantage de consensus et de diagnostic partagé aujourd'hui. Cela devrait favoriser la possibilité de réformes mieux acceptées demain."

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    La modernité que nous connaissons, la modernité occidentale qui mène à la démocratie, se fonde sur la notion d'autonomie de l'homme. Autos nomos, l'homme qui est loi (nomos) à lui-même (autos). L'homme est donc souverain et établit sa propre loi, au lieu de la recevoir d'en haut et de l'autre, c'est-à-dire d'un Dieu transcendant. L'homme est libre parce qu'il n'est plus obligé d'obéir à des règles qui lui sont imposées de l'extérieur (eteros nomos, hétéronomie), par des pouvoirs terrestres (papes ou rois) qui prétendent incarner la volonté divine. Ainsi, la base de la modernité est l'autonomie, tandis que son aboutissement est la souveraineté de l'autogouvernement.

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-891226,0.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />  

    "<?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="La Justice" w:st="on">La Justice</st1:PersonName>, enfin"

    <o:p> </o:p>

    Le mercredi 4 avril, à 19h30

    <o:p> </o:p>

    Ecole Normale Supérieure

    Rue d'ULM 75005


    Avec : Arnaud Montebourg (avocat, député de Saône-et-Loire) André Vallini (avocat, secrétaire national PS justice et institutions, ancien Pdt Commission Outreau) Jean-Pierre Mignard (avocat, co-auteur de "L'affaire Clichy") Serge Portelli (magistrat, auteur du "Traité de démagogie appliquée : Sarkozy, la récidive et nous")

     

    Les débats seront animés par Laure Adler

    Le site : http://www.lesamisdesegolene.org

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