http://www.marianne2007.info/Vos-reactions-au-numero-521-de-Marianne-Le-vrai-Sarkozy-_a1136.html

<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

http://www.chevenement.fr/Grand-succes-pour-la-venue-de-Segolene-Royal-a-Belfort_a294.html?PHPSESSID=f03277f981b93e37ae256d01a3d437c1

<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>

« Madame, je ne vous ai entendue et vue qu'à la télévision. Mais vos propos, votre manière d'être ont fait que, depuis plusieurs mois déjà, j'étais enclin à voter pour vous le 22 avril. Ayant lu attentivement votre livre « Maintenant », je ne doute plus de le faire.
Je suis un très vieux monsieur. Ministre du général de Gaulle à trois reprises, je fus un des rares qui eurent l'honneur d'être reçus par lui à Colombey, après qu'il eut, en parfait démocrate, démissionné de la présidence de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la République">la République</st1:PersonName> parce que désavoué lors du référendum qu'il avait décidé. Je suis fidèle à sa mémoire. <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">La France</st1:PersonName>, au cours de sa longue histoire, n'a guère eu de chef d'Etat de cette envergure, parfaitement indépendant de toutes les puissances financières et de tous les dogmes politiques, ne se laissant intimider par quiconque, discernant ce qu'allait être l'évolution du monde et percevant ce qu'étaient les intérêts à long terme de son pays. Mais je n'ai jamais cru à la possibilité d'un gaullisme sans de Gaulle et je me suis vite désolidarisé de ses prétendus héritiers.
Cela dit - et sans vouloir vous écraser sous une telle référence en vous assimilant à cette très haute figure -, j'ai le goût de vous dire que je constate d'assez nombreuses analogies entre ses idées et les vôtres, telles qu'elles apparaissent au long de vos trois centaines de pages. D'abord le volontarisme politique, puis l'attachement à la nation, à son passé et à son avenir, comme fondement nécessaire aux solidarités entre les individus vivant sur son sol ; la prise en compte des aspirations populaires mais sans soumission systématique à l'opinion ; l'idée, que de Gaulle énonça dès mars 1968 dans un discours à Lyon, que les activités régionales sont les ressorts de la puissance économique de demain ; encore, le fait que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">la France</st1:PersonName>, dans un monde menaçant, ne doit pas renoncer à une puissance militaire forte. Entre vous et lui, il est encore un trait commun : quand on lui exposait un problème de façon abstraite, il vous interrompait : «Alors ! Pratiquement, que proposez-vous ?» Or toujours vous proposez ou esquissez une solution concrète.

<o:p> </o:p>

Lire la suite : http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2214/articles/a339200-Ségolène_et_de_Gaulle.html

</o:p>

 

UN NOUVEAU 21 AVRIL   en  perspective ...

Dernières tendances - Prospectives à J -10 - [OFF - Cabinets Sondages et analystes]

<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

Deux surprises :

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-    le candidat du Front National, Jean-Marie Le Pen arrive en tête au premier tour devant Nicolas Sarkozy ;

-    la cristallisation des votes à J -10 n'est pas encore effectuée [ phénomène jamais constaté sous la Vème République à moins de 10 jours];

<o:p> </o:p>Analyse :

Ce vote s'explique d'une part par le rejet massif du système, d'autre part, par une désapprobation de la politique menée par la Droite depuis cinq ans.

Nicolas Sarkozy réussit à incarner la rupture avec la Droite au pouvoir et paraît en capacité de traiter les thématiques chères à l'Extrême droite.

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Mais à J-10 rien  n'est encore joué.

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La Cristallisation des votes va s'opérer - sauf évènements marquants - à compter du jeudi 19 avril, ce qui est exceptionnellement tardif - du jamais vu pour une élection présidentielle sous la Vème République.

Ségolène ROYAL peut encore l'emporter en réussissant cette dernière ligne droite par une adresse directe à l'électorat populaire.

A cette seule condition, elle peut réussir à passer devant Nicolas SARKOZY.

La mobilisation du corps électoral est plus importante qu'en 2002. Le corps électoral a de plus grossi. Il a enregistré de nouveaux électeurs.

Dans ce contexte, Ségolène Royal a d'autant plus de travail à réaliser que les seules voix portées par Lionel Jospin en 2002 représenteraient à peine 14% des suffrages exprimés.

Les résultats du 1^er tour apparaissent donc extrêmement importants, décisifs.

Ségolène Royal peut encore l'emporter à la seule condition de mobiliser - dans ces dix derniers jours - le seul électorat qui compte : l'électorat populaire.

 

En France, <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> a été forte chaque fois que l'immigration n'a pas été perçue comme une menace mais, au contraire, comme un enrichissement ne pouvant ébranler son identité politique. Mais <st1:PersonName ProductID="la République" w:st="on">la République</st1:PersonName> a été faible quand ont triomphé les discours nationalistes étroits, le racisme, la xénophobie et l'antisémitisme ; lorsque la haine de l'autre a servi à colmater les angoisses identitaires et à remplacer la volonté d'assumer positivement la diversité ; quand des républicains ont soutenu des entreprises colonialistes ou impérialistes.

Aujourd'hui, la mondialisation affaiblit les Etats, fragilise les identités nationales, réveille les obsessions identitaires et la haine de l'autre, un peu partout dans le monde. Mais elle offre aussi à <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> la possibilité de refonder son modèle républicain aussi bien à l'écart de tout communautarisme néolibéral qu'à distance de toute conception purement nationaliste de l'identité. Cette refondation exige, comme nous l'avons affirmé au Haut Conseil à l'intégration (HCI), que le républicanisme français traditionnel fasse son autocritique, qu'il cesse de confondre assimilation et intégration.

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-894475,0.html

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<?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype><v:shape id=_x0000_s1026 style="MARGIN-TOP: -187.25pt; Z-INDEX: 1; MARGIN-LEFT: -119.55pt; WIDTH: 16.5pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 23.25pt; wrap-distance-left: 0; wrap-distance-top: 0; wrap-distance-right: 0; wrap-distance-bottom: 0; position-horizontal: absolute; position-horizontal-relative: text; position-vertical: absolute; position-vertical-relative: line" alt="L" type="#_x0000_t75" o:allowoverlap="f"><v:imagedata src="file:///C:\DOCUME~1\jean-luc\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.gif" o:title="l"></v:imagedata><?xml:namespace prefix = w ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:word" /><w:wrap type="square"></w:wrap></v:shape>L'usage de "machines à voter" fait disparaître le dépouillement et le vote lui-même ; lequel n'est pas seulement l'acte individuel de choisir tel candidat ou aucun ; il est aussi l'ensemble exprimé et synthétisé des votes individuels.

Le vote est collectivement considéré comme l'ensemble des opérations qui en font une totalité politiquement significative. Or les machines à voter confisquent discrètement cet ensemble. A-t-on pensé la portée de cet événement ? Les 114 exigences techniques stipulées (règlement du 17 novembre 2003), la légalité de leur utilisation (a.L. 57-1 du code électoral, 1969), leur usage de fait (55 communes, 837 bureaux de vote, le 29 mai 2005, soit moins de 1 million d'électeurs ; 82 communes prévues pour 2007), la liberté de choix pour chaque commune, l'existence de subventions (400 euros par machine soit 10 % du prix d'achat), tout cela ne peut faire oublier qu'une opération essentielle du vote - sa production régulière et publique, et donc un moment essentiel de la démocratie - est éclipsée.

<o:p> </o:p>

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-894472,0.html

<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

<?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">La France</st1:PersonName> est-elle encore un pays influent ? Oui, Évidemment. Alors pourquoi, en 2007 nous posons-nous encore cette question ?

 

Parce que nous restons inconsciemment obsédés par le souvenir des deux ou trois siècles pendant lesquels <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">la France</st1:PersonName> n'était pas seulement « influente », mais dominante (Richelieu, Louis XIV, les Lumières, Napoléon, l'empire colonial). Que nous avions cru retrouver cette position avec Clemenceau et la victoire de 1918 et feint de la retrouver avec de Gaulle. Et que tout cela n'est pas si loin. Qu'après avoir usé (ou mésusé) de la puissance, nous avons exalté notre mission civilisatrice et affirmé notre rôle universel avec d'autant plus de force que cela devenait moins vrai. Parce que nous avons collectivement vécu notre repli au XXe siècle comme un déclin pénible - d'où la récurrence masochiste du débat sur le déclin. Que nous savons que nous nous sommes effondrés en 1940, et que c'est là le vrai traumatisme mal enfoui sous l'auto-examen qui se poursuit sur Vichy depuis 67 ans ! Nous nous posons également cette question parce que nous avions pensé retrouver à travers l'Europe notre puissance et notre influence en partie perdue - Europe puissance, Europe sociale à la française - et que ce n'est pas ce qui se passe dans l'Union à vingt-sept où tout fait l'objet de compromis et qu'il est déprimant, par ailleurs, de s'entendre dire que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="La France">la France</st1:PersonName> seule ne peut plus rien (ce qui est faux d'ailleurs).

 

Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/forum-figaro-2007/20070410.WWW000000214_exercons_notre_influence_avec_lucidite_realisme_et_ambition.html

 

Jean-Pierre Chevènement est l'invité de Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1 mardi 10 avril à 8h20.

L'émission est podcastée ci-dessous. Voir aussi le compte-rendu sur le site d'Europe 1 et la vidéo (première partie et seconde partie) de l'émission.

<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>http://www.chevenement.fr/docs/audiovideo/europe1-10042007.mp3

<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

Ségolène Royal est une femme, donc nulle en économie ? Aussi grossier puisse-t-il paraître, ce syllogisme d'un autre âge pèse visiblement lourd dans les subconscients. A en juger par certaines réactions, nombre de commentateurs doctes et avisés ont manifestement du mal à aller au-delà de leurs préjugés machistes.

Les candidats masculins peuvent se permettre d'aligner les inepties économiques (Sarkozy) ou encore de revendiquer le vide de leur programme (Bayrou). Mais il suffit que la candidate Royal laisse un détail dans l'ombre pour que sa compétence économique soit immédiatement remise en cause.

http://www.liberation.fr/rebonds/246300.FR.php

<o:p> </o:p>

[MERCI à Nicole]

ASILE & IMMIGRATION

« Nicolas SARKOZY : Chronique d'une catastrophe annoncée »

Les politiques d'asile et d'immigration menées en France durant les cinq dernières années ont généré des dysfonctionnements généralisés.
Dénoncées - dans une unanimité à saluer -  par l'ensemble du monde associatif , cette politique a entraîné des drames humains considérables souvent mésestimés.
Il n'est pas même jusqu'aux Eglises - catholiques  et protestantes   - qui ne se soient mobilisées.
Nicolas Sarkozy a été à l'initiative de deux lois essentielles - celle du 10 décembre 2003 et celle du 24 juillet 2006 -  qui ont permis la mise en œuvre d'une politique aujourd'hui largement contestée.

Il est vrai que, par bien des aspects, cette politique a déshonoré la tradition républicaine française. Elle a été très mal vécue par l'ensemble des fonctionnaires. La plupart le disent, souvent avec retenue et pudeur, toujours avec craintes.

Lire la suite : http://www.asulon.eu/pages/sarkozy2c_chronique_d27une_catastrophe_annoncee.pdf

<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

 http://www.latelelibre.fr/index.php/2007/04/exclusif-la-bonne-blague-de-rachida-dati

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[MERCI à Justin et à Parvèz]