• <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">La France</st1:PersonName>, un pays replié sur lui-même ? Sur les onze premiers mois de <st1:metricconverter ProductID="2006, l" w:st="on">2006, l</st1:metricconverter>'Hexagone a bénéficié - rachat de sociétés et opérations financières comprises - de plus de 52 milliards d'euros d'investissements en provenance d'entreprises étrangères (IDE). Un chiffre en hausse de 16 % par rapport à la même période l'année précédente, « notamment sous l'effet d'une augmentation des investissements venant de l'extérieur de la zone euro », selon les données publiées hier par <st1:PersonName ProductID="la Banque" w:st="on">la Banque</st1:PersonName> de France. Il y a dix ans, le sol français n'attirait que 20 milliards. Si les investissements directs de <st1:PersonName ProductID="la France" w:st="on">la France</st1:PersonName> à l'étranger (69 milliards sur onze mois) sont encore supérieurs aux investissements étrangers en France, l'Hexagone est en passe de confirmer sa position de première terre d'accueil de la zone euro - les chiffres annuels de l'IDE seront connus mi-février. Elle supplante nettement ses voisins italiens (35 milliards d'euros d'IDE sur un an, en octobre dernier) et espagnols (15 milliards). En 2006, le montant des investissements en France serait même « cinq fois supérieur » à celui à destination de l'Allemagne, « pays que d'aucuns dépeignent pourtant comme le modèle de compétitivité à suivre... », remarque-t-on au cabinet d'études Xerfi. Les montants investis ici restent toutefois très inférieurs à ceux destinés aux États-Unis et au Royaume-Uni.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    M. VT.. Publié le 19 janvier 2007 Le Figaro


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    En 10 jours :


    —    elle recadre le premier secrétaire du PS sur la fiscalité,


    —    elle suspend son porte parole,


    —    ... et remet tout le monde au travail !!


    C'est clair ! Ségolène est un chef !


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    La couleur du Gaullisme, le goût de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France ...</st1:PersonName> Mais ce n'est que <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Droite">la Droite</st1:PersonName> du CAC 40 et du Dow Jones réunies !

    <o:p> </o:p>

    ATTENTION au réveil, Braves gens !


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  • « Sans vouloir vous offusquer, Nicolas Sarkozy » par Pierre-Louis Basse

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    Cher Nicolas Sarkozy, c'est un joli message que vous avez tenu à nous envoyer depuis la porte de Versailles. Je dis "nous" pour désigner ma famille, voyez-vous, une famille qui se situe plutôt à gauche, depuis plusieurs décennies. Il faut dire que la politique ne déteste pas ce genre de tournants. Je comprends cela. On s'échauffe un peu, on s'emballe, l'air du temps vous pousse à prendre quelques risques verbaux - aidés en cela par des intellectuels touchés eux aussi par votre charisme - et hop ! le temps d'un meeting, c'est toute l'histoire de notre pays que vous parvenez à ramasser dans votre manche. Bien joué président. Très fort.

    <o:p> </o:p>

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-856902,0.html


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  •  

    Le candidat de l'UMP à la présidentielle Nicolas Sarkozy a "un impératif", "faire oublier qu'il est au pouvoir depuis cinq ans", a affirmé mercredi Henri Emmanuelli, député socialiste des Landes.
    Il a qualifié de "plaisanterie" l'attitude de Nicolas Sarkozy. "On a un ministre d'Etat, numéro 2 du gouvernement, président du parti majoritaire sans lequel le gouvernement ne peut pas exister, qui explique +je ne suis pas au gouvernement, je suis en rupture+", a dénoncé M. Emmanuelli.
    Selon le député socialiste, "Nicolas Sarkozy est le premier Français qui aura réussi à faire mentir Descartes, lequel expliquait qu'on ne peut pas être à la fenêtre et se regarder marcher dans la rue. M. Sarkozy, il y arrive".

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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Le Monde : Comment justifiez-vous votre ralliement à Ségolène Royal, partisane de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> européenne, alors que vous en étiez un de ses plus farouches détracteurs ?
    Jean-Pierre Chevènement : Vous oubliez un événement très important : le peuple français a rejeté le projet de Constitution européenne, le 29 mai 2005 et Ségolène Royal entend respecter le verdict populaire en dépassant, en dynamique, le clivage du oui et du non. L'accord politique passé entre le MRC et le PS est à cet égard pleinement satisfaisant. Il affirme la priorité d'un redressement économique et social de la construction européenne et il écarte l'idée d'une nouvelle Constitution. Ségolène Royal a dit clairement que <st1:PersonName ProductID="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:PersonName> était caduque et qu'il fallait « faire l'Europe par la preuve ». Elle a souligné à Porto, devant les socialistes européens, la nécessité de réformer les statuts de <st1:PersonName ProductID="la BCE" w:st="on">la BCE</st1:PersonName> pour y inscrire le soutien à la croissance et à l'emploi.

    <o:p> </o:p>

    http://www.chevenement.fr/L-entretien-avec-Jean-Pierre-Chevenement-tel-que-vous-auriez-du-le-lire-dans-Le-Monde_a177.html?PHPSESSID=6ef953a56289839f5e4ff05798742653


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Le 14 décembre dernier, des soldats de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName ProductID="la Force" w:st="on">la Force</st1:PersonName> multinationale en Centrafrique lors d'une patrouille à Birao, symbole des enjeux croisés qui secouent la région.

    <o:p> </o:p>

    Rebelles et contrebandiers se jouent des limites entre le Soudan, le Tchad et <st1:PersonName ProductID="la Centrafrique." w:st="on">la Centrafrique.</st1:PersonName>


     


    C'EST UN ÉTRANGE endroit, où se croisent bien des Afrique. Du Nord et du Sud. Du golfe de Guinée et des rivages de l'océan Indien. L'Afrique musulmane et chrétienne ou animiste, aussi. Perdue aux confins des « Trois Frontières » - celles du Soudan, du Tchad et de <st1:PersonName ProductID="la Centrafrique" w:st="on">la Centrafrique</st1:PersonName> -, la petite bourgade de Birao est le symbole des enjeux croisés qui enflamment la région. Quelle partie se joue dans ces marches désertiques, que la folie des hommes devrait bouder ? Un nouveau « grand jeu » d'Afrique centrale, où se mêlent réalités et fantasmes géopolitiques, guerres par procuration et trafics variés, convulsions locales et manipulations internationales.


    C'est d'ici qu'est parti le dernier épisode des conflits de la région. Le 30 octobre dernier, une mystérieuse rébellion s'empare de Birao. « Ils étaient 400 ou 500 rebelles, venus du Soudan, raconte le maire, Ahmad Moustapha Am-Gabo, il y avait parmi eux des Tchadiens, des Soudanais. »

    <o:p> </o:p>

    http://www.lefigaro.fr/international/20070117.FIG000000160__birao_la_guerre_sans_fin_des_trois_frontieres.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype><v:shape id=_x0000_s1026 style="MARGIN-TOP: -100.45pt; Z-INDEX: 1; MARGIN-LEFT: -119.55pt; WIDTH: 16.5pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 23.25pt; wrap-distance-left: 0; wrap-distance-top: 0; wrap-distance-right: 0; wrap-distance-bottom: 0; position-horizontal: absolute; position-horizontal-relative: text; position-vertical: absolute; position-vertical-relative: line" alt="L" o:allowoverlap="f" type="#_x0000_t75"><v:imagedata o:title="l" src="file:///C:\DOCUME~1\jean-luc\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.gif"></v:imagedata><?xml:namespace prefix = w ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:word" /><w:wrap type="square"></w:wrap></v:shape>L'Amérique s'embourbe au Vietnam. Le 15 août 1971, Richard Nixon déclare l'inconvertibilité du dollar en or. Les années 1970 sont des années de dollar faible. Dix ans plus tard, l'Amérique de Reagan réarme, l'URSS s'effondre : ce sont des années de dollar fort. Et, à présent que l'Amérique connaît en Irak son deuxième Vietnam, les mêmes causes semblent produire les mêmes effets. Le dollar est faible et frôle ses niveaux historiquement les plus bas.

    <o:p> </o:p>

    Le lien entre la valeur de la monnaie d'un pays et celle de ses armées n'a pourtant rien de politique. Quand une guerre commence, elle creuse les déficits, lesquels doivent se financer en attirant l'épargne étrangère. Le pays en guerre doit augmenter ses taux d'intérêt, ce qui apprécie la valeur de sa monnaie. Quand la guerre se termine, il faut rembourser les dettes, dégager des excédents. A mesure que le pays restaure l'équilibre de ses comptes, les taux d'intérêt baissent, la monnaie se déprécie. La monnaie forte, c'est L'Iliade, la monnaie faible, L'Odyssée (pour emprunter une métaphore d'Alexandre Adler).

    <o:p> </o:p>http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-856361,0.html

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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), a estimé mardi à Lyon que l'image de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> serait "considérablement bonifiée" par une victoire de Ségolène Royal à l'élection présidentielle. Chevènement, qui avait retiré sa candidature à la présidentielle début décembre en sa faveur, a assuré lui "faire confiance pour porter une idée généreuse de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la France">la France</st1:PersonName> (...) et des valeurs qui peuvent être partagées par les Français".


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    L'art de l'image ne lui est pas étranger. Ségolène Royal y excelle même. Tout naturellement, l'histoire de sa victoire sur le PS pourrait donc commencer par une photo. Elle date du lendemain des élections régionales, en mars 2004. Tous les présidents de gauche qui viennent d'être élus (20 Régions métropolitaines sur 22 sont tombées dans l'escarcelle de la gauche) posent ensemble. Les socialistes sont fiers et un peu surpris par leur résultat historique. Ségolène Royal se tient parmi une tribu d'hommes en costume sombre. Elle est vêtue de blanc. On ne voit qu'elle. Tout est déjà là.


    Quelques mois auparavant, Ségolène Royal n'était encore qu'un éléphanteau du PS parmi d'autres, populaire certes, mais atypique et peu considérée par les ténors de son propre camp. La presse ne l'avait pas encore transformée en « gazelle ». Tête de liste pour les élections régionales en Poitou-Charentes, le pari peut paraître osé a priori, mais elle aime « les coups » : cette région symbolique est le fief du premier ministre en exercice, Jean-Pierre Raffarin. En réalité, le rapport de force droite-gauche dans la région rend l'objectif à sa portée.


    http://www.lefigaro.fr/election-presidentielle-2007/20070116.WWW000000455_segolene_royal_des_regionales_a_la_victoire_sur_le_ps.html


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

     « Attaque militaire US sur l'Iran avant avril 2007


    Attaque par mer, frappe des sites pétroliers et nucléaires » par Ahmed Al-Jarallah

    <o:p> </o:p>

    Kuwait City : Washington va lancer une attaque militaire sur l'Iran avant avril 2007, selon certaines sources. L'attaque sera lancée par mer et des missiles Patriot protègeront les pays producteurs de pétrole dans la région, ont-elles ajoutées.

    Des déclarations récentes venant des US indiquent que la nouvelle stratégie de l'Administration Bush pour l'Irak ne comprend aucune proposition de compromis et de négociation avec la Syrie et l'Iran. Selon une source fiable, le président Bush s'est récemment entretenu lors d'une rencontre avec le Vice Président Dick Cheney, le secrétaire à la défense Robert Gates, la secrétaire d'état Condoleezza Rice et d'autres assistants de la Maison Blanche, et ils ont discuté du plan d'attaque contre l'Iran dans le moindre détail.

    Lire la suite :
    http://www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=AL-20070116&articleId=4485

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