• Laurent Fabius : le changement à gauche pour une société forte parce que solidaire !


    Retrouvez l'intégralité du second débat entre les présidentiables socialistes, consacré aux questions de société.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>VOIR LA VIDEO :</o:p> http://www.laurent-fabius.net/article740.html

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  • Le débat des présidentiables du Parti socialiste a pris hier un nouveau tournant.
    De toute évidence, deux types de société s'affrontent au-delà des différences d'analyses économiques et sociales.

    Deux lignes ainsi se distinguent :
    - la ligne Ségolène Royal dont le mérite est certainement de bousculer les lignes. Mais est-ce une vertu en soi quand les propositions sont, soit obsolètes, soit dangereuses ?

    - la ligne Fabius, classique, qui prône une orthodoxie enlevée et pleine de panache, au service d'un projet mûrement réfléchi.

    DSK - comme j'ai déjà eu le loisir de l'écrire - est l'arbitre de la bataille.
    Après avoir fait signe à Jospin, DSK va désigner le vainqueur.
    Fabius a toutes ses chances.
    Comment ne pas s'en réjouir quand la chance rejoint le talent ?

    Jluc PUJO

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  • Après les « jurys populaires » maoïstes...

    A quand la mise en place des « Soviets » ?

    Décidemment, Ségolène, qu'est-ce qu`elle est belle !

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  • « 14-18 » Le magazine de la Grande Guerre - n° 33
    Août/Septembre 2006 « L'offensive de la Somme » par Frédérick Hadley

    Les préparatifs de la bataille de la Somme-Le bombardement-L'offensive de la Somme (1er juillet-21 novembre 1916)



    Consulter le site Officiel : « Chemin de mémoire » : http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/page/affichebiblio.php?idLang=fr&idBiblio=1230&idPage=7006


    et le site de la Grande Guerre : http://www.historial.org/fr/home_b.htm


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  •  


    voir le site de PLACIDE : http://www.leplacide.com/dossier.php?dossier=11


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  • Il faut bien le reconnaître, ce film a un mérite d'importance, celui d'exister.
    Ainsi, comble-t-il les lacunes des plus jeunes générations auxquelles n'est plus enseigné l'Histoire. Pour quel dessein d'ailleurs ?
    Ce film - modeste - est décevant à plus d'un titre.
    Certes, il nous donne à voir des acteurs plutôt sympathiques.
    Mais le scénario reste d'une pauvreté affligeante. Clichés, caricatures et inexactitudes s'y côtoient au service d'une bien-pensance devenue aujourd'hui la garantie - la seule ? - d'un succès médiatique.
    Qui peut donc croire que ce film ait permis à J. CHIRAC de prendre la mesure d'une injustice flagrante ? Arrêtons la farce !
    L'utilité de ce film trouve ainsi toutes ses limites dans l'hypocrisie générale.
    De cette communion nationale, devenue abjecte,  peu de monde tire profit.
    Les acteurs, les pauvres, nouvellement investis dans un rôle politique et social. Les politiques qui font minent de découvrir l'indicible.
    Temps de honte ! Temps d'amertume !
    Quand allons-nous enfin regarder la vérité en face ?
    Quand allons-nous adresser à ces hommes - venus du fin fond des colonies pour défendre la France - des signes forts dignes d'une grande République ?
    Et ne nous payons pas de mots ! Quand allons-nous payer tous les arriérés de pensions à ces hommes là ? Donner des signes forts à leurs enfants ?
    Au contraire, nous voilà, dans l'abjection et le délire.
    L'État refuse de payer les arriérés. Trop cher ! Un simple geste suffira ! Et nos acteurs en pantins ridicules peuvent à satiété exprimer sur les plateaux de télévisions leur message exalté : « Nous devons dire à nos jeunes - ceux des banlieues - qu'ils sont légitimes dans ce pays »
    Dans l'immense tourbillon des approximations, tout devient alors possible.
    Même le pire.
    Voilà où mène la république évanescente de nos élites spirituellement corrompues !
    Tristes leçons ! Et tout ne fait que commencer...



    Jean-luc Pujo
    Président des Clubs « Penser la France »


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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p> 

    Don Juan, orgueilleux séducteur, défie dans l'opéra de Mozart le noble Commandeur. Celui-ci triomphe cependant. Don Juan, foudroyé, disparaît aux enfers. Tout peut alors rentrer dans son ordre. " Elle ne dure jamais longtemps, la fête des fous ", chante Masetto. La Ve République a porté en elle un semblable défi, celui de Don Juan-Mitterrand face à de Gaulle. Mais dans notre histoire, c'est Don Juan qui l'emporte finalement sur le Commandeur. Celui qui avait osé lancer : " Le gaullisme n'est qu'une aventure personnelle " a laissé derrière lui, soigneusement choisis, des germes de destruction qui continuent à parfaire son œuvre au-delà de sa vie. Et se plaçant dans la lignée de son prédécesseur, Jacques Chirac est devenu, consciemment ou non, l'exécuteur testamentaire de celui qui se flattait d'être le " dernier vrai président " de la Ve République. Quelle force mystérieuse a donc conduit l'héritier présomptif de la tradition gaulliste à s'inscrire dans la continuité de François Mitterrand, achevant ainsi le démembrement des structures politiques dont le Général avait doté la France ? Car elle est bien morte, la Ve République, après une longue agonie, et le temps est venu de dresser le constat de décès alors que la fête des fous continue de plus belle... C'est une histoire qui aura duré à peine cinquante ans et dont nous avons déjà oublié les racines. Il se trouve qu'elle est celle de ma génération et que, d'un petit coin de la scène, j'en ai vu se dérouler le fil.


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  •  


    « PREMIER POUVOIR » sur France Culture a malheureusement été supprimé.


    Vous pouvez retrouver les émissions d'Elisabeth LEVY avec Gilles CASANOVA, notre ami, chroniqueur détonant et averti sur le site "DERNIER POUVOIR"


    Vous pouvez également réagir à la fin de l'émission Premier pouvoir, sur France Culture.


    A vous la parole : http://www.dernierpouvoir.com/


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  • Dans une tribune publiée par Libération, vous tentez - avec brio - de définir le phénomène Ségolène Royal.
    De ce « Ségolisme », vous dites l'essentiel.
    Quel mal vous a pris d'affubler cette personne d'une qualité toute discutable ?
    Vous estimez Ségolène « intelligente » ? Dites-vous.
    Vous me permettrez sur ce point de faire valoir quelque hésitation. Elle m'amène à réfuter cette couleur « fashion », affreux contraste dans le magnifique tableau que vous nous livrez.
    Ne confondez-vous pas « intelligence » et « intelligence politique » ?
    Cette dernière doit-elle, au demeurant, se mesurer à la seule capacité à gagner le pouvoir ?
    Voyez-vous, M. Motchane, penser que « la communication plus qu'un lien décisif est le lieu décisif de la pensée » et faire apparaître « la vie comme un cortège d'apparition » - pour reprendre les termes que vous employez et qui correspondent si bien au « ségolisme » - est l'absolue contraire de ce que commande l'intelligence politique.
    C'est de cette inintelligence, qui n'est plus - hélas ! - un obstacle à l'accès au pouvoir, dont nous allons le plus souffrir. Nous en souffrons déjà.
    Par le succès même de l'apparence, nous creusons notre propre tombe, alors que tout commande à donner du sens, à parler vrai.
    De cette intelligence là, que nous définirons comme la compréhension des grands enjeux et la conscience sur - aiguë  du bonheur d'un peuple - Oui ! J'ose le mot - le « Ségolisme » est dépourvu.
    De plus, les enjeux qui se présentent à nous - en cette période - sont, vous le savez mieux que quiconque, d'une très grande importance.
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>La situation internationale commande une intelligence politique exceptionnelle et du courage.
    Tout doit donc nous alerter.
    N'en veuillez donc pas à un jeune histrion politique de proclamer sa foi toujours intacte dans la raison et d'affirmer avec conviction sa propre pétition : « Laurent Fabius est une chance et il peut l'emporter ! »


    Cordialement,


    JLuc Pujo


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  • Ils ont chacun leur logiciel, construit au fil de leur formation et de leur expérience. Bien sûr, ils sont tous contraints par le projet socialiste, qu'ils ont plus ou moins influencé, directement ou indirectement. Mais chacun en propose, dans ses professions de foi, ses interviews et ses discours, une application différente, fruit de sa culture politique personnelle et aussi de ses calculs d'homme et de femme de pouvoir. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /> Pour Ségolène Royal, présidente de la Région Poitou-Charentes, le credo qui sous-tend toutes ses prises de position, c'est « la décentralisation jusqu'au bout ». Certes, dans sa profession de foi, Royal affirme que « la globalisation appelle le renforcement de l'État ». Mais cet État, pour elle, n'est jamais à l'initiative : son rôle principal, à ses yeux, c'est « d'assurer la péréquation entre les territoires », en un mot de corriger plus que d'impulser, de financer sans décider.<o:p> </o:p>

    Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/debats/20061020.FIG000000062_royal_strauss_kahn_fabius_la_region_le_contrat_l_etat.html


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  • Deux jours après leur premier exercice télévisé, les trois prétendants à l'investiture socialiste pour 2007 ont cultivé pendant deux heures chacun leur style: Mme Royal dans le registre de "la proximité", M. Strauss-Kahn dans celui de la pédagogie, et M. Fabius dans l'affirmation passionnée de convictions anti-libérales.


    Titre la suite : http://www.laurent-fabius.net/


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  • L'apparence d'une transparence ou la transparence d'une apparence ? Les deux ensembles, ma Ségolène.


    Apparence d'une transparence : La mise en orbite dans la médiasphère de la candidature à la présidence de la République de Ségolène Royal a pris tout d'abord l'apparence du lancement d'un OVNI-objet visible non identifié. Plutôt une apparition d'ailleurs dans ce ciel médiatique qu'un lancement qu'aucune NASA ne s'était flattée d'avoir fait partir d'un cap CANAVERAL politique.  Il a suffi un jour de lever les yeux au ciel pour apercevoir Ségolène sur le seuil de l'Elysée, comme si elle avait été toujours là.


    Lire la suite : http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/election_presidentielle/209726.FR.php


    [Merci à Renaud]


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