-
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
Les enjeux de la nouvelle guerre qu'Israël mène simultanément au Liban et dans la bande de Gaza dépassent de beaucoup les affrontements armés qui ont opposé de manière récurrente l'Etat hébreu et ses voisins arabes depuis 1948.
<o:p> </o:p>
votre commentaire -
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
Vingt-quatre ans après les massacres de Sabra et Chatila et l'appel de Pierre-Vidal Naquet, nous condamnons les attaques meurtrières de Tsahal et demandons un cessez-le-feu immédiat au Liban.
Par Raymond AUBRAC, Rony BRAUMAN, Rachel CHOUKROUN, Stéphane HESSEL, Marcel-Francis KAHN
<o:p> </o:p>Voici vingt-quatre ans, Israël lançait au Liban l'opération «Paix en Galilée», qui allait, par les bombardements terrestres et aériens, faire des centaines de victimes civiles et qui devait aussi, du fait de l'appui apporté par Israël à ses supplétifs libanais, conduire aux massacres de Sabra et Chatila.
<o:p> </o:p>
votre commentaire -
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
Peut-être que la menace la plus sérieuse qui pèse sur Israël est la paix, même une paix juste et durable, une paix faite de reconnaissance mutuelle entre deux Etats devant vivre côte à côte, une paix qui serait l'acceptation du réel, pas du fantasme, pas des mythes. Or le réel est complexe, il est difficilement contrôlable totalement, il refuse surtout de se plier aux désirs de domination voire d'humiliation, il est accaparé pour le moment par des fureurs impatientes, cruelles et extrêmes. C'est une réalité marquée par le tragique, par la haine, par le racisme et l'engrenage de la vengeance
<o:p> </o:p><o:p> </o:p>
votre commentaire -
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
À la guerre comme à la guerre : Israël va s'enfonçant dans une atmosphère nationaliste véhémente et l'obscurité commence à tout recouvrir. Les freins qui nous restaient sont usés, l'émoussement des sens et la cécité caractéristiques de la société israélienne ces dernières années, ne cessent de s'intensifier. L'arrière, dont on fait l'éloge à tour de bras, est scindé en deux : le Nord qui endure et le Centre qui, lui, est serein. Mais des deux côtés, la fibre belliqueuse a pris le dessus, avec sa cruauté et sa soif de vengeance, et les voix extrêmes qui jusqu'ici caractérisaient les marges du camp, sont maintenant l'expression de son cœur. La gauche s'est une nouvelle fois égarée, drapée dans son silence ou « avouant ses erreurs ». Israël montre un visage uniforme, nationaliste.
<o:p> </o:p>
votre commentaire -
« Liban, la guerre qui lève les tabous » par Antoine Sfeir.
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Peut-on encore, à la 4e semaine de guerre entre Israël et le Hezbollah, garder une position distanciée par rapport au conflit ? Au-delà de la tragédie des civils, victimes innocentes d'une guerre qui n'est pas la leur, peut-on essayer d'avoir une approche «froidement cynique» de cet affrontement, porteur d'une telle charge passionnelle ?
<o:p> </o:p>http://www.lefigaro.fr/debats/20060805.FIG000000471_liban_la_guerre_qui_leve_les_tabous.html
1 commentaire -
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>
Le monde musulman est « outré » par « la partialité » de la réaction internationale face à l'offensive israélienne au Liban, a déclaré, jeudi 3 août, Ekmeleddin Ihsanoglu, le secrétaire général de l'Organisation de la conférence islamique (OCI), qui s'est réunie d'urgence en Malaisie pour discuter de la situation au Proche-Orient.
<o:p> </o:p>http://www.lemonde.fr/web/recherche_breve/1,13-0,37-954257,0.html
votre commentaire -
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
« Viktor Ianoukovitch veut passer pour l'homme du consensus en Ukraine »
<o:p> </o:p>Le nouveau premier ministre ukrainien, le pro-russe Viktor Ianoukovitch, a dit samedi au journal russe Rossiiskaïa gazeta, son souci de "cesser les querelles" avec Moscou, que ce soit dans les négociations sur le prix du gaz livré à l'Ukraine ou sur l'entrée de son pays dans l'OTAN. "Il faut arrêter de se quereller avec nos voisins et apprendre à discuter avec respect", a-t-il déclaré, insistant sur le fait que <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Russie">la Russie</st1:PersonName> était "un partenaire important" pour le nouveau pouvoir ukrainien.
<o:p> </o:p>
votre commentaire -
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
Le retrait provisoire de Fidel Castro est en train de faire resurgir au grand jour les moyens démesurés utilisés par Washington pour anéantir le leader cubain. Outre plus d'un demi-siècle d'embargo, les Etats-Unis, via <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la CIA">la CIA</st1:PersonName>, auraient tenté 638 fois d'assassiner Castro, rappelait hier The Guardian, se fondant sur le livre de Fabian Escalante, ancien des services cubains : cigare explosif, pilules empoisonnées, mollusques piégés, tout aura été tenté.
<o:p> </o:p>
1 commentaire -
"Grand résistant et ancien député du PC, il est mort à 92 ans". Par Pascal VIROT
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>C'est un grand résistant qui est mort. Un grand communiste aussi, chassé du parti dans les années 60, témoin et procureur de ses dérives staliniennes.
Maurice Kriegel-Valrimont, décédé mercredi à l'âge de 92 ans, était né à Strasbourg le 14 mai 1914. Fils de bonne famille, destiné à une belle carrière après avoir reçu une éducation religieuse judaïque qu'il rejette rapidement et obtenu son diplôme d'études supérieures de droit, il s'engage très tôt dans la lutte contre le fascisme qui menace le monde.
http://www.liberation.fr/actualite/politiques/197041.FR.php
<o:p> </o:p>VIDEO : Témoignage de Maurice KRIEGEL-VALRIMONT, au lycée Schuman de Metz (durée: 1h40 )
votre commentaire -
Le centre économique de la capitale est pratiquement paralysé lundi par le mouvement de protestation lancé par Andres Manuel Lopez Obrador pour dénoncer une «fraude électorale» lors de la présidentielle du 2 juillet.
L'appel du leader de la gauche Andres Manuel Lopez Obrador porte ses fruits. Plus de 1,2 million de personnes, selon les organisateurs, sont descendues dans les rues dimanche à Mexico. Ils exigent un nouveau dépouillement des suffrages. Selon la gauche, l'élection présidentielle du 2 juillet dernier a été manipulée par la droite. Les partisans d'Obrador occupent plusieurs avenues, rue ou places stratégiques de la capitale, et comptent rester mobilisés jusqu'à ce que les autorités électorales décident d'un nouveau décompte des voix.
http://www.lefigaro.fr/international/20060731.WWW000000258_un_million_de_personnes_dans_les_rues_de_mexico.html
votre commentaire -
« Au Proche-Orient, les traitements palliatifs ne suffisent pas » par Jimmy Carter
Le Moyen-Orient est une poudrière : les protagonistes attendent la moindre occasion pour faire feu, pour envoyer des bombes et des missiles sur l'ennemi. À l'origine des violences répétées, les prisonniers de guerre sont l'un des points de vulnérabilité d'Israël. Les partisans palestiniens et libanais savent bien que la détention d'un soldat ou d'un civil israélien est soit source de conflit, soit un atout précieux dans les échanges de prisonniers. Les nombreuses négociations passées vérifient ce propos, notamment l'échange de 1 150 Arabes, pour la plupart Palestiniens, contre trois Israéliens, en 1985 ; de 123 Libanais contre les dépouilles mortelles de deux soldats israéliens, en 1996 ; et de 433 Palestiniens et autres prisonniers contre un homme d'affaires et les dépouilles mortelles de trois soldats israéliens, en 2004.
votre commentaire -
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
Ariel Sharon savait que la force qui fait peur à l'adversaire est celle que l'on n'utilise pas. Clausewitz dit avec raison que la force utilisée n'est plus la force mais la violence. Les successeurs de Sharon pouvaient-ils poursuivre la même politique ? «Non, répond Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah libanais, dans le journal iranien Jomhouri-ye Eslami . Ils sont petits. Ils ne riposteront pas.» Hassan Nasrallah s'est trompé : les dirigeants israéliens ne pouvaient pas agir comme Sharon, non parce qu'ils sont «petits», mais parce qu'ils sont différents : c'est pour cela que les Israéliens les ont élus.
<o:p> </o:p>http://www.liberation.fr/opinions/rebonds/196126.FR.php
votre commentaire