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avec Marc Saghié, de Courrier international, et Dominique Vidal, du Monde diplomatique.
<o:p> </o:p>Ecouter l'émission ...http://www.radioorient.com/player/player2.php?flux=__q-internationales
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"C'est une nomination people. Je ne pense pas qu'un ego suffise à faire une compétence."Michel Tubiana, président d'honneur de la Ligue des droits de l'homme (LDH).
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Monsieur le ministre,
Cette cérémonie de naturalisation, mes chers compatriotes, est un moment important pour chacun d'entre vous et pour la République : il marque votre entrée dans notre communauté nationale. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>
Mesdames et Messieurs les parlementaires,
Mesdames et Messieurs les maires, et les élus,
Mesdames et Messieurs,Lire la suite ...
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La rédaction de Paris Match (Hachette Filipacchi Médias, groupe Lagardère) a décidé de se mettre en grève, jeudi 29 juin, pour protester contre l'éviction "pour des raisons politiques" de son patron, Alain Genestar. Dans l'histoire de cet hebdomadaire, fondé en 1949, un seul débrayage avait eu lieu, pendant les événements de Mai 68.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3236,36-789703@51-786426,0.html
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« Au Mexique, la campagne électorale accentue le divorce entre les zapatistes et les intellectuels »
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Les "intellectuels d'en haut" ont la peau trop délicate, ironise le sous-commandant Marcos : pour ces partisans du moindre mal, les critiques de "ceux d'en bas" ont la violence d'un "coup de piolet" en pleine cervelle. Dans le petit amphithéâtre bondé de l'Ecole nationale d'anthropologie et d'histoire de Mexico, lundi 26 juin, le leader du mouvement zapatiste lit l'un de ses innombrables commentaires politiques, agrémenté de chansons. La voix est posée, mais le ton vindicatif.
<o:p> </o:p>
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Paris, starfuckeuse, starcroqueuse
Sur les champs élysées, starfuckeuse
T'es comme les singes,
Tu lâches jamais une branche sans en avoir attrapé une autre
Starfuckeuse, préviens tes copines, starmoqueuse
Rohff a écrit votre hymne
Tu va t'reconnaître<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Voir la vidéo...cliquer sur le lienhttp://www.dailymotion.com/relevance/search/starfuckeuse/video/253978
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http://www.lemonde.fr/web/articleinteractif/0,41-0@2-3218,49-789489@51-759824,0.html
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<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>Le retour de Jospin prête à sourire ...
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« L'avenir de la dissuasion française »
Lundi 10 juillet 2006 à 18 h
Maison de la Chimie - 75007 Paris
Quel est le lien entre la dissuasion et l'indépendance de la France ?
Les nouvelles menaces (prolifération, terrorisme, etc.) périment-elles la stratégie dissuasive ?
La dissuasion coûte-t-elle cher au budget de défense ?
Comment doivent évoluer les forces stratégiques, les composantes aériennes et sous-marines ?
Comment s'articule la dissuasion autonome et nos engagements en Europe ?
avec : Alain Dejammet Ambassadeur de France, ancien représentant à l'ONU ; Bruno Tertrais,chercheur à la Fondation pour la Recherche stratégique ; Benoit d'Aboville, ancien ambassadeur auprès du Conseil de l'Atlantique Nord ; Louis Gautier, ancien conseiller de Lionel Jospin ; Amiral Thierry d'Arbonneau, ancien commandant des Forces océaniques stratégiques ; Général Mathe, ancien commendant des Forces aériennes stratégiques ; Jean-Pierre Chevènement.
inscription : info@fondation-res-publica.org.
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Faut-il en rajouter dans l'hallali ? Les hommes politiques ne sont pas aveugles sur les défauts du système. L'importance donnée aux sondages, l'approche des échéances électorales, l'idée qu'ils se font de leurs électeurs ne favorisent pas leur liberté. Les élus eux-mêmes reconnaissent qu'ils agissent dans la précipitation : un dossier arrive au vote, et on ne l'a pas étudié. Un député m'a dit un jour qu'il regrettait d'avoir voté la loi sur la bioéthique, contre laquelle l'Eglise était intervenue par souci du respect de l'embryon : "Je n'ai même pas fait attention, car l'impact médiatique était nul, et il n'y avait pas de voix à gagner.
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http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-789192@51-785310,0.html
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<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
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http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-789209,0.html
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Nous serons tous fidèles, devant nos postes de télé, autour d'un verre et de quelques nourritures terrestres préparés.
Nous serons là - attentifs, haletant - comme au début d'une course altière, transpirant, émus, criant ou gémissant.
Nous serons là, remplis d'espoir devant ce jeu devenu planétaire, liant notre local intime - amis, famille - et le monde entier réunis sous nos yeux écarquillés.
L'enthousiasme sera notre monnaie. La joie simple, partagée sera notre salaire. Nous soutiendrons le geste, le beau geste sportif.
« En France, il y a la manière ! »
Nous penserons Zidane, Barthes, Henry, Thuram, Makelele, Vieira ou Trezegue ... « 98 », le triomphe !
Nous guetterons tous les autres, Gallas, Abidal, Givet, Sagnol, Malouda, Wiltord, Saha ou Ribery.
Nous verrons tous ces bleus, haleter, se battre, transpirer.
Et nous verrons aussi la France avec eux un instant espérer.
Et dans la crainte partagée, la joie aussi - à n'en pas douter - nous saisirons alors cet impalpable, cet invisible qui fonde ces instants inoubliables, particuliers - les seuls connus de la famille intime - la vrai.
Et pas de faux semblant - nous ne sommes pas bêtes. Ignorant rien au fond de ce qui est caché - dopages, frics et tricheries - dépassant cette réalité frigide, porté par un élan qui nous est supérieur, nous guetterons l'instant magique où la joie, l'émotion fera cet essentiel : le bonheur d'être ensemble. Tous ensemble.
Nous chanterons aussi - qu'importe la chanson - nous rirons, pleurerons au détour d'une balle - échappée, enlevée - nous crierons, hurlerons au ballon au fond de leurs filets - à chaque but par la France marqué ...
Venus de tous les coins de France, venus des quatre coins du Monde, supporteurs chahuteurs de l'équipe des bleus, pourtant si dissemblables, nous serons un instant - magique, enlevé - l'incarnation vivante de ce qui fait Nation : un combat, un espoir, une communauté.
Comment la Nation pourrait-elle oublier ? « 98 », un certain soir d'été, dans chacun des villages, sur les Champs Elysées ...
2006 ? La Nation se met à espérer ...
Et dans cette course nouvelle, magnifique, effrénée, tous ensemble, nous nous mettons à rêver. Des voix déjà s'élèvent - et pour notre bonheur - nous entendons crier :« Vive la France, on va gagner » !
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